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All in Famille
Un roman extraordinaire qui revisite le syndrome de Diogène. Un méchant, la maison, qui, telle une toile d’araignée , piège la famille perturbée qui l’habite.
Leïla Slimani change de registre avec cette fresque familiale. L’évocation du racisme et du sentiment anticolonialiste est réussie. Mais un roman inégal, essoufflé à certains moments.
Un roman d’une grande pureté qui aborde avec pudeur le thème de l’absence.
Errance du héros en quête d’identité, errance du lecteur qui se perd dans les clichés d’une Louisiane de carte postale. À éviter.
Un roman qui nous emmène dans les coulisses de l’édition et finit par se perdre dans le dédale de son intrigue.
Il ne faut pas laisser mamie pourrir (mourir) dans son EPHAD, d’autant qu’elle a des choses à dire. Roman réjouissant.
Après une première partie poussive dans la moiteur de Lanzarote, le roman décolle en page 115 avec des lignes à haute tension extrêmement puissantes. Rien que pour ça…
Un premier roman réussi, une ode à ceux qui nous abandonnent et nous obligent à déployer des trésors d’invention pour raviver leur mémoire.
Un dialogue intime entre l’auteure et son aïeul, dont le lecteur se sent rapidement exclu. Laborieux.
Comment devient-on un héros ? Pourquoi partir ? Ce sont les deux questions essentielles auxquelles Marie Darrieussecq tente de répondre avec son dernier roman.
Tous les hommes n’habitent pas le monde de la même façon. Il y a ceux qui l’embellissent de leur passage et ceux qui l’avilissent de leur médiocrité. Démonstration.
Tel est pris qui croyait prendre. ! Quel plaisir de redécouvrir le petit chef d’oeuvre machiavélique de Sébastien Japrisot.
Un histoire d’amour lesbienne dans le Japon traditionnel. Délicat et sensuel, sans être inoubliable.
Avec cette histoire d’amour déçu, Cécile Coulon s’affirme comme une des romancières les plus talentueuses de sa génération.
Un premier roman de grande qualité. Constance Joly a travaillé son texte comme un peintre exigeant : en inventant des couleurs qui n’existaient pas.
Ça commence comme une gentille fable des studios Ghibli et puis, l’air de rien, ça se rapproche d’un Takeshi Kitano pour devenir carrément subversif.
Quelle pointure ? On m’avait parlé d’un chef d’oeuvre... Je ne l’ai pas vu, en tous cas pas lu.
Parfois jubilatoire, souvent horripilant. Une intrigue banale, prétexte à de bons mots, des tartines sur des petits riens, une succession de sketches plutôt qu’une véritable histoire.
Sur le fil du rasoir, Kaoutar Harchi dénonce ces sociétés patriarcales et machistes pour lesquelles la femme est soit une mère soit une putain.
Une saga qui semble avoir été pompée sur des grands classiques du Western moderne tels que Little big Man ou Danse avec les loups.
