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Violaine Huisman évoque deux monuments de son histoire familiale : son père et son grand-père. Souvent plaisant, parfois pesant.
La biographie romancée d’un habitué du Palace, précurseur du gonzo journalisme. Jouissif.
Le coeur momifié d’une candidate à la canonisation trouble celle qui l’étudie. Beau sujet, mal exploité.
Qui aime bien châtie bien. Cyril Huot met le maître italien à l’épreuve de ses contradictions. Passionnant.
Biographie romancée réussie du premier monstre de l’histoire du spectacle : Sarah Bernhardt.
Récit éthéré de la découverte des poésies d’Emily Dickinson. Fuyant et contemplatif.
La biographie romancée de Thomas Mann par Colm Tóibín. Une réussite totale.
Laura Antonelli avec « son visage d’ange sur un corps de pécheresse », disait Visconti. Un beau portrait construit comme une quête éperdue.
Un essai imaginaire sur un auteur qui n’a jamais existé et dont la dernière oeuvre se résume à des pages blanches… Tantôt passionnant, tantôt ennuyeux.
Rodolphe Barry romance la vie de l’écrivain James Agee, avec cette phrase qui résume si bien le livre et son héros : “je n’ai rien à perdre, voilà pourquoi je suis honnête “.
Cherche Vivian désespérément ! Gaêlle Josse, dont j’admire l’oeuvre et le style, tombe un peu dans la facilité avec cette biographie en demi-teinte.
Un biopic sans épic. La complexité de la construction narrative (deux histoires entremêlées) nuit au lyrisme de ce portrait.
