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Dans la petite ville de Merci, on ne meurt pas que d'ennui. Une réussite.
Paul Konig a le pouvoir de faire parler les morts. Cela suffira-t-il à le sauver ? Puissant roman noir.
Une histoire de vagabond bien écrite mais qui tourne court. Dommage.
Ils ont tous une bonne raison de mettre la main sur la partition présumée du maître Scarlatti. Mais le plus mal intentionné n’est pas celui qu’on croit. Un roman en style de polar dirigé avec maestria.
L’inspecteur Jourdan est las de ramasser les cadavres. Hervé Le Corre raconte son errance, sans parvenir à nous passionner.
La sauvagerie des terres australes suffoque les esprits, attise les désirs et fertilise la folie. Bienvenus dans la famille Murphy.
Un thriller haletant servi par une écriture exigeante : c’est ce qu’on appelle de la grande littérature.
Un bon roman policier qui commence en Normandie, le soir du 12 juillet 1998. Hervé Commère est un auteur à découvrir d’urgence.
Une descente vertigineuse dans le monde cruel de la finance des années 90. Assez jouissif, malgré quelques clichés et chutes de ton.
Un roman qui nous emmène dans les coulisses de l’édition et finit par se perdre dans le dédale de son intrigue.
Quels terribles raisons poussent un homme à se suicider ? Réponse dans le quatrième roman de Mathieu Ménégaux dont la mécanique narrative commence à s’essouffler un peu.
Julia Philips dézingue tous les codes du thriller pour nous livrer un roman original, un peu long parfois, mais qui ne s’oublie pas de sitôt.
Tel est pris qui croyait prendre. ! Quel plaisir de redécouvrir le petit chef d’oeuvre machiavélique de Sébastien Japrisot.
Sans être du niveau d’un Total Khéops, le premier roman de Charles Daubas associe merveilleusement bien une ville et son mystère inavouable.
Un roman policier à l’ancienne que Simenon avait remarqué. On comprend pourquoi. Derrière l’enquête se cache la satire sociale et l’étude d’une chute libre, celle du bonheur conjugal.
Vendu comme du Columbo à la française, ce roman est aussi ennuyeux qu’un chewing-gum sans goût.
Un cri d’amour à l’adresse des démunis et que la justice absout si rarement parce que la justice est trop souvent tributaire de l’argent
