Mon manifeste “Confessions d’une chroniqueuse littéraire” est disponible sur Amazon.fr :
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All in Italie
Une magnifique histoire d’amour qui, je l’espère, sera justement récompensée.
Monacal et monocorde. Quand le récit s’embrase enfin, il devient ridicule. Un énième pastiche de l’amour à Venise.
Les coulisses du mythique échange entre Umberto Eco et Jean-Claude Carrière.
Qui aime bien châtie bien. Cyril Huot met le maître italien à l’épreuve de ses contradictions. Passionnant.
Une magnifique déclaration d’amitié et une passionnante plongée dans le milieu littéraire italien.
L’inoubliable roman de Thomas Mann. Venise, théâtre de l’affrontement entre Éros et Thanatos.
Philippe Vilain ne réussit pas à rendre la singularité de cette femme de camorriste qui tua par amour
Avec le talent qu’on lui connaît, Julien Gracq donne ses impressions de la ville éternelle.
En s’appuyant sur une jolie coutume napolitaine, Amanda Sthers nous livre un dépliant touristique qui manque d’originalité et de profondeur.
En faisant le portrait de cette société italienne où, dans la violence, chacun se cherchait une mythologie, Marta Barone montre que ce que nous avons gagné en paix, nous l’avons perdu en convictions.
Deux tiers des réfugiés sont des femmes. Daniela est l’une entre elles. Elle a quitté la Roumanie pour Milan à la recherche d’un travail. Poignant, malgré une écriture sans consistance.
Un chef d’oeuvre d’une modernité incroyable. Portrait d’une femme libre dans une Italie malmenée par ses démons.
La famille Ceresa dissimule un secret de famille qui bouleverse le destin de ses enfants. Belle chronique d’une famille pauvre des Marches.
Il n’y a pas plus beau décor que Rome pour se poser des questions existentielles. Roman élégant et savoureux.
Quand les migrants débarquent dans ce petit village de Sardaigne, les cartes sont rebattues. Un conte moderne sur l’altérité.
Laura Antonelli avec « son visage d’ange sur un corps de pécheresse », disait Visconti. Un beau portrait construit comme une quête éperdue.
Un face à face passionnant qui fait le procès d’une époque et d’une vision de la société. Très recommandable.
Sur un fait d’histoire oublié (l’existence d’une chambre à gaz en Italie), Claudio Magris s’attaque à tous les sujets : Shoah, cause des noirs, mémoire collective… Trop ambitieux, trop éparpillé.
Un témoignage extraordinaire sur l’expérience des camps, la résilience et la reconstruction de soi.
Un endroit de Sicile où le tragique et le comique se côtoient, où la mort traîne au fond de chaque ruelle. Écrit dans une langue magnifique.
