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Cette fois, Édouard Louis nous parle de sa mère, et c’est un peu ennuyeux.
Dans ce monde aplani par les algorithmes, le mystère est une planche de salut. Intelligent et dérangeant.
Une autobiographie intelligente et sincère à la lumière de ce qui guida l’auteur sa vie durant : les arts martiaux.
Vivre de ses écrits, c’est devenir pauvre. Franck Courtès en fait l’expérience, avec beaucoup d’autodérision.
Un cri anticonformiste qui fait réfléchir à défaut de convaincre.
Jérôme Garcin raconte comment la maladie et la mort ont touché sa famille. Bien écrit à défaut d’être original.
Que se passerait-il si nos vies dépendaient d’un algorithme ? Ce serait un désastre. Heureusement, Christian/Christelle/Chris va déjouer les conformismes. Futuriste et lumineux.
Un roman sans envergure, une énième déclinaison de la femme dépressive en quête d’amour. À médire le Médicis.
Sa mère lui dit : « Les gens t’exploiteront si tu te laisses faire. Surtout toi, une femme noire » Histoire d’une belle résilience.
En panne d’inspiration, David Foenkinos montre, une fois de plus, qu’il n’est pas à la hauteur de la couverture médiatique dont il bénéficie.
Un roman dont la deuxième partie, toute à la psyché de l’auteure, m’a plus convaincue que la première, très confuse.
Être musulmane et lesbienne en 2020. Un premier roman sincère et courageux qui ouvre la voie à d’autres libérations de parole.
Un livre qui aborde sans tabou la question du moment: peut-on être un artiste monstrueux ? Un témoignage lucide et nécessaire.
Sincère, nostalgique, passionné, mais sur un sujet aussi traité que l’adolescence, d’autres auteurs ont fait beaucoup mieux.
Quand le maître livre ses secrets d’écriture, on ferme sa gueule et on écoute. Salutaire.
Un premier roman réussi, une ode à ceux qui nous abandonnent et nous obligent à déployer des trésors d’invention pour raviver leur mémoire.
Moi X Moi = Moix, mais ça n’enlève rien à la beauté et la sincérité de ce roman d’initiations et d’humiliations.
Jules Gassot appartient à un courant littéraire où la narration est surtout prétexte à la dérision. Certains y verront de la sagesse, moi j’y vois du cynisme. Dommage, car cet auteur a du talent.
Les journalistes ne font pas toujours de grands écrivains. Colombe Schneck affirme qu’elle sait désormais nager. Moi je trouve qu’avec ce livre, elle a touché le fond.
