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All in Noir
Un roman plein de cynisme et d’à-propos dont on peut juste regretter la fin.
Paul Konig a le pouvoir de faire parler les morts. Cela suffira-t-il à le sauver ? Puissant roman noir.
L’excellent Hervé Le Corre s’essaye à la dystopie. Il ne m’a pas convaincue.
Une histoire de guérisseurs qui tombe à plat malgré les tirades poétiques de son auteur.
La cavalcade improbable d’une bande de jeunes qui ont pour projet de changer le monde. Immature et vain.
Une histoire de vagabond bien écrite mais qui tourne court. Dommage.
Un roman impressionnant par sa capacité à mêler le réel au fantastique. Un voyage au coeur des ténèbres qui ne laisse pas indemne.
Tanguy Viel est passé maître dans la description des petits engrenages qui mènent aux grandes catastrophes. De la grande littérature.
L’inspecteur Jourdan est las de ramasser les cadavres. Hervé Le Corre raconte son errance, sans parvenir à nous passionner.
Derrière chaque sourire d’homme, il y a un pervers narcissique qui attend son heure. Démonstration avec ce roman, noir et poisseux à souhait.
En pleine spéculation immobilière à Londres, un cadavre est retrouvé dans la cage d’escalier d’un immeuble dont les derniers habitants seront chassés. Deux mondes vont s’affronter. Un très bon “page turner”.
Une descente vertigineuse dans le monde cruel de la finance des années 90. Assez jouissif, malgré quelques clichés et chutes de ton.
Quels terribles raisons poussent un homme à se suicider ? Réponse dans le quatrième roman de Mathieu Ménégaux dont la mécanique narrative commence à s’essouffler un peu.
Écrit à une époque où on se permettait encore de dire des horreurs par provocation, Jacqui est un petit chef d’oeuvre d’humour noir.
Tel est pris qui croyait prendre. ! Quel plaisir de redécouvrir le petit chef d’oeuvre machiavélique de Sébastien Japrisot.
Les femmes sont plus courageuses que les hommes. Vous n’oublierez jamais Ree, héroïne féministe qui préfigure la croquette de Gabriel Tallent.
Une danse macabre, rythmée par une vulgarité souvent gratuite. Pour comprendre le rapport que les Mexicains entretiennent avec la mort, allez plutôt revoir “Coco” de Disney.
Un livre incroyable, écrit comme on pousse un cri, comme on tire une balle de fusil, comme on recouvre un cercueil d’une pelletée de terre.
Trevanian réussit une prouesse : nous faire aimer un tueur, nous le rendre sympathique et vierge de toutes opprobes. Entre ses mains, l’âme est dans la lame.
