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All in Famille
Nicolas Mathieu raconte de manière sublime l’ennui commun des mortels. Barde de notre temps, il croque la société provinciale avec tendresse et un brin de nostalgie.
Pete Fromm nous embarque sur les lacs canadiens, à la rencontre d’une famille en perdition. Un bon moment de lecture.
Et si la fondation d’une famille était l’acte le plus radical et le plus courageux de notre époque ? Magnifique roman de Joyce Maynard.
Une histoire de famille en perdition qui ne tient pas debout. Je n’ai pas été sensible à cet univers macabre et fantastique.
Un roman trop lisse pour être honnête. Il coche toutes les cases de la bienveillance et de la bienséance et à ce titre (la définition du bonheur), il en devient suspect.
Un chef d’oeuvre d’une modernité incroyable. Portrait d’une femme libre dans une Italie malmenée par ses démons.
Près de la Loire il existe un bar où l’on peut faire un break et reprendre goût à la vie. Écrit avec fougue et conviction.
La famille Ceresa dissimule un secret de famille qui bouleverse le destin de ses enfants. Belle chronique d’une famille pauvre des Marches.
Comment un trauma initial fait d’un homme un animal. Brutal mais diablement puissant. Un beau premier roman.
Une fratrie se déchire au crépuscule de l’existence. Un roman aux accents Houellebecquiens, dans lequel la parenthèse du voyage à Auschwitz m’a laissée perplexe.
Une histoire de malédiction, conjurée par la sagesse indienne d’un père Cherokee. Des personnages bien campés mais un peu répétitif.
La sauvagerie des terres australes suffoque les esprits, attise les désirs et fertilise la folie. Bienvenus dans la famille Murphy.
Avec des mots ciselés dans la douceur, Marie-Hélène Lafon explore les racines d’un arbre généalogique. La langue est belle mais l’abondance des personnages nuit à la clarté du récit.
L’histoire, c’est quand les hommes violent la géographie. Démonstration avec ce touchant voyage d’un Libanais en Israël.
Un roman dont la deuxième partie, toute à la psyché de l’auteure, m’a plus convaincue que la première, très confuse.
Être musulmane et lesbienne en 2020. Un premier roman sincère et courageux qui ouvre la voie à d’autres libérations de parole.
Des souvenirs d’enfance un peu convenus, un père magnétiseur qui justifie toutes les bizarreries et une construction narrative quelque peu brinquebalante. Déçue.
La partie de cache-cache n’est pas celle que l’on croit. Un roman d’une grande finesse psychologique.
Un premier roman plutôt réussi sur l’émancipation d’une femme à la fin du dix-neuvième siècle.
