Une belle année littéraire marquée par des Prix pertinents et des premiers romans de bonne facture.   Les prix littéraires, d’abord.  J’ai trouvé que les récompenses avaient été données à des livres qui les méritaient vraiment.  Avec

Une belle année littéraire marquée par des Prix pertinents et des premiers romans de bonne facture.

 Les prix littéraires, d’abord.

J’ai trouvé que les récompenses avaient été données à des livres qui les méritaient vraiment.

Avec « Veiller sur elle », le Goncourt a remis le romanesque au goût du jour.

Avec « Les insolents », le Renaudot a consacré une auteure capable de saisir l’air du temps.

Avec « Triste Tigre », le Femina a souligné l’importance du témoignage de Neige Sinno.

Avec « Que notre joie demeure », le Médicis a salué la virtuosité de Kevin Lambert.

Avec « Western », le Prix de Flore a mis en lumière le talent unique de Maria Pourchet.

Parfait.

 

Les premiers romans, ensuite.

Six d’entre eux m’ont impressionnée par leur maturité, leur intensité et la manière, très maîtrisée, dont ils ont été construits. Il s’agit de :

L’allègement des vernis, de Paul Saint-Bris

Vous ne connaissez rien de moi, de Julie Héraclès

Un empêchement, de Jérôme Aumont

Ce que je sais de toi, d’Éric Chacour

La colère et l’envie, d’Alice Renard

Alain Pacadis Face B, de Charles Salles

Des écrivains prometteurs dont j’attends avec impatience le deuxième roman.

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Il y a quand même dans la rue des gens qui passent

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