Les romans que je le moins aimés en 2020
J’ai encore lu une centaine de livres, cette année.
Voici ceux qui m’ont le plus marquée, enthousiasmée ou consternée.
Mes chroniques sont indépendantes. J’achète l’intégralité de mes livres et je ne rends de comptes à personne.
On commence par la catégorie 🔪
Prix du roman le plus mauvais de l’année parce que son auteur passe plus de temps à faire la promotion de ses livres qu’à les écrire.
La Famille Martin de David Foenkinos
Prix du roman horripilant, par le caractère prétentieux de son style, mais qui bénéficie du soutien de la frange la plus snob de la critique.
Otages de Nina Bouraoui
Prix du roman prise de tête qui réussit, sous prétexte d’aborder les mystères de l’âme, à rendre fou d’ennui.
Une bête aux aguets de Florence Seyvos
Prix du roman carte postale mal foutue, incapable de se sortir des clichés.
Louisiane de Fabienne Kanor
Prix du roman du people qui s’essaye à l’écriture de fiction, mais n’y réussit point.
Le radiateur d’appoint d’Alex Lutz
Les 10 autres romans aux portes du palmarès de mes lectures les moins aimées de 2020 :
Le métier de mourir (Jean-René Van Der Plaetsen), Autoportrait en chevreuil (Victor Pouchet), Tamanoir (Jean-Luc A. d’Asciano), Le serveur (Matias Faldbakken), Nos corps érodés (Valérie Cibot), Dans la lande immobile (Sarah Mosse), Inconstance des souvenirs tropicaux (Nathalie Peyrebonne), L’âne mort (Chawki Amari), Le service des manuscrits (Antoine Laurain) et Nos conversations célestes (Jean-Christophe Attias).